9 avril 2011
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L’auteur cisèle de courts poèmes comme un sculpteur une statue de marbre jusqu’à ce qu’elle reste figée dans une posture définitive. Dès lors chaque poème, riche de mélancolie, d’images inattendues, de mots nouveaux ou ré inventés, coule comme une eau tranquille et claire, mais dont on redoute en cas d’orage, la transformation en torrents ! Ses tous derniers vers :
Garde aussi tes yeux clos :
Ta nuit sera l’abri de ton imaginaire