L'étau se desserre et se libèrent les mots C'est l'espoir d'un sens Je rassemble les fleurs Pour que leur parfum réponde à toute attente
C'est toi ! Te voilà ! Au creux de mes pages ! Surprise dans ma grammaire et aussi dans ma vie C'est l'écriture sans encre des lois éternelles
Que mon carnet est un jardin Voilà ce que je dis Les ligne et les graviers sont mes repères Je les devine quand il fait nuit
31 juillet 2010
Lorand Gaspard, 41